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- Publication : 15 décembre 2020
Pour la dernière séance de cette année 2020 qui restera dans les mémoires comme une des plus chaudes jamais observées, comme une année où les accords internationaux sur le climat ne sont toujours pas respectés, comme une année où le vivant continue d'être pillé/exterminé/pollué, le club écologie a voulu finir une note optimiste.
Certains écosystèmes sont définitivement perdus, à jamais.
Les insectes disparaissent, ainsi que leurs services rendus. Les vertébrés déclinent partout sur la planète à cause des activités humaines. Les forêts sont rasées à une vitesse alarmante. Quant aux océans...
Mais si un écosystème n'est pas trop dégradé, il est possible de le restaurer. Souvent, "cela ne coûte rien", à part peut-être de ne rien faire, de le laisser tranquille !
La complexité de la nature est à la fois sa plus grande force de résilience, mais aussi le plus grand frein à l'action (l'Homme met du temps à comprendre les conséquences de ses actes).
Le cas de la restauration du parc du Yellowstone (un parc plus grand que les Pyrénées-Atlantiques !) est l'objet de ce document. C'est fascinant !